Une réflexion sur la pensée unique et l'empire auto-consacré du bien. L'auteur montre que l'espace public des démocraties occidentales n'est pas neutre, tous les courants idéologiques n'y étant pas accueillis de la même manière. Les personnes dont la parole dérange sont traitées de fascistes ou de populistes et marginalisées. Il analyse ce qui inscrit un individu du bon ou du mauvais côté.